Ekiden d’Albi : retour en images sur la 26ème édition
La 26ème édition de l’Ekiden d’Albi s’est déroulée samedi soir dans les rues de la cité épiscopale.
L’Ekiden d’Albi a encore une fois rencontré un vrai succès. Compétiteurs, amateurs de course à pied et sportifs très occasionnels étaient nombreux à s’être réunis samedi soir place Sainte-Cécile, dans une ambiance conviviale, pour le départ de la célèbre course nocturne. 468 équipes au total ont pris le départ de cette épreuve en relais, parcourue sur la distance classique du marathon alternant des courses de 5 à 10 km par relayeur.
Une foule bigarrée, avec plusieurs équipes déguisées en tenues fluo, en super-héroïnes ou en Minions. Si les athlètes confirmés courent après le chrono, l’épreuve comptant pour le championnat d’Occitanie, beaucoup de participants – étudiants, collègues de travail, familles ou groupes d’amis – étaient là avant tout pour le goût de l’effort et pour passer un bon moment. Comme ces magistrats et greffière des tribunaux d’Albi et de Castres, réunis pour l’occasion, ou encore la famille Pauthe, venue en nombre 2 équipes de 6 pour fêter les 75 ans du grand-père qui a lui aussi chaussé les baskets.
Plus tôt dans la journée, les bénévoles de l’association Marathon d’Albi, organisatrice de l’événement avec le soutien de la Ville et du Département, étaient déjà en poste au pied de la cathédrale pour installer les stands de remise des dossards. D’autres se sont ensuite positionnés tout au long du parcours, qui a été modifié cette année suite aux travaux en cours sur le Pont-Vieux, pour s’assurer du bon déroulement de la course.
Le relais ekiden est une course à pied.
Cette épreuve consiste en la succession de relais sur route par équipes de six relayeurs. Habituellement, la somme des diverses distances à parcourir par l’ensemble des candidats d’une équipe doit être égale à celle du marathon, soit 42,195 km, dans ce cas, les six coureurs doivent successivement parcourir les distances suivantes : 5 km, 10 km, 5 km, 10 km, 5 km et pour finir 7,195 km. Ils se transmettent un témoin plus léger que celui des relais 4 x 100 m, pour ne pas entraver le coureur. Le témoin traditionnel est une écharpe en tissu appelée le tasuki.